Le vaudou a toujours fasciné, et il n’y a que des journalistes de passage pour se faire duper. Des fraudes sont souvent mises à jour.
L’anthropologue Francis Huxley raconte comme un magistrat vit un houngan (chef spirituel de la religion vaudou) prendre un cadavre d’une tombe, réciter des invocations, le secouer et finalement le ramener à la vie.
Le magistrat moins impressionné que ces amis qui l’accompagnaient, examina la tombe et trouva un tube qui ressortait pour la respiration.
Le cadavre était le complice de l’houngan.
Mais la tricherie n’explique pas toutes les histoires racontées autour des zombies, dont l’une de ces histoires racontées par Oxley, un prêtre catholique.
Ce dernier obtient les confidences de témoins d’un cas de zombies datant des années 50. Une jeune fille avait rejeté les avances d’un houngan.
Quelques jours après qu’elle est éconduit ce houngan, elle fut atteinte d’une forte fièvre, et l’hôpital lui diagnostiqua une maladie non spécifiée. Elle décéda à l’hôpital. Le corps fut ramené à la maison ou un cercueil acheté tout fait à Port-au-Prince l’attendait. Malheureusement il était trop court et le coup de la jeune fille dû être plié en deux pour que le corps puisse y tenir.
Une autre mésaventure arriva durant la veillée funèbre ou dominait le rhum et la danse. Une chandelle allumée tomba dans le cercueil qui brula gravement son pied gauche.
Quelques mois après l’enterrement une rumeur ce répondit sur laquelle la jeune fille supposée morte avait été vu en compagnie du houngan qu’elle avait rejeté.
Sa famille regarda cette nouvelle comme un bobard superstitieux. Sans doute supposa-t-on que l’houngan était attiré par des filles d’un physique approchant de celui de  la morte et c’était trouvé une maîtresse qui lui ressemblait.
Mais quelques années après un fils de la famille vu une femme qui ressemblait à sa sœur s’occuper des taches ménagères de l’houngan. Il lui demande son nom. Elle ne pu lui répondre et ne semblait avoir aucun mémoire du passé
Curieusement, son coup était tordu et son pied gauche portait la cicatrice d’une importante brûlure. On l’emmena à son ancien domicile supposé mais en dépit des soins aimants qui l’entourèrent, elle ne pu trouver sa connaissance et demeura dans une sorte d’hébétude jusqu’à sa (seconde) mort ?

En fait de nombreuses drogue sont connues dans notre pharmacopée moderne comme produisant un état de catalepsie ou d’animation suspendue. La plupart mal employées peuvent causer des lésions cérébrales irréversibles.
La belladone et le datura sont deux des poisons végétaux que les haïtiens du commun croient devoir être mélangé avec des substances plus magique par exemple trois gouttes provenant du nez d’un cadavre pour fabriquer les médecines avec lesquelles les sorciers contrôle en zombie
Un hôpital moderne peut rapidement diagnostiquer d’après l’état d’un malade ce qui lui est arrivé et quelle substances toxiques lui ont administré. Mais Haïti en possède fort peu !
Et la peur toujours présente du zombie signifie que bien peu de paysans qui rencontrons un cadavre errant auront l’idée de le conduire chez un médecin auprès duquel ils pourront recevoir un traitement approprié.
Ainsi il apparaît que la croyance au zombie est fondée sur la superstition et par-dessus tout sur la fraude, ou le zombie rencontré par des observateurs étrangers n’était que des débiles mentaux.

Mais il est tout aussi possible que des êtres malveillantes possèdent les connaissances pharmaceutiques nécessaires pour simuler une mort apparente.

Nous sommes ici dans la simulation de phénomènes paranormaux, mais dans un but d’exercer un pouvoir, d’engendrer de la peur. Bien loin du mentalisme qui simule des phénomènes paranormaux, mais dans un but de divertissement.