La mémoire est définie comme une capacité pour l’organisme humain de codifier, retenir et se rappeler une information. Les troubles de la mémoire peuvent se catégoriser du statut moyen à sévère, aux dépens des dommages faits aux structures neuroanatomiques ; que ce soit partiellement ou complètement. Ces dommages entravent la mémoire. Les troubles de la mémoire peuvent être progressifs, ce qui inclut la maladie d’Alzheimer, ou immédiats, incluant les troubles à la suite d’une commotion cérébrale.
Le syndrome de Brulard voit son origine dans l’œuvre de Stendhal, mais il ne faut pas confondre avec le syndrome de Stendhal qui est aussi inspiré par cet écrivain français.
Ainsi nommé par le théoricien de la littérature Dominique Viart, il désigne un trouble de la mémoire qui substitue au souvenir lui-même des images vues ou informations perçues ultérieurement.
Chacun des deux hémisphères de notre cerveau est divisé en plusieurs zones nommées lobes. Ces derniers sont au nombre de quatre par hémisphère :
- le lobe temporal
- Le lobe frontal
- Le lobe occipital
- Le lobe pariétal
Chacun de ces lobes est impliqué dans une forme de mémoire précise :
- Le lobe temporal est fortement sollicité pour la mémoire sémantique
- Le lobe frontal est considéré comme le siège des différentes mémoires à court terme
- Le lobe occipital est impliqué dans la mémoire perceptive visuelle
- Quand au lobe pariétal, il est en œuvre dans les mémoires qui font appel au langage (lecture, écriture, parole), au calcul et au traitement des informations sensorielles.
La mémorisation est le résultat d’un processus biochimique dans lequel les neurones jouent un rôle essentiel. Lorsqu’une information arrive à un neurone, des protéines sont produites et permettent de créer un réseau spécifique de neurones associé au souvenir. C’est ce que l’on appelle la “plasticité synaptique” (les synapses étant les points de contact entre les neurones). Ainsi, chaque souvenir correspond à une configuration unique de neurones interconnectés dans un vaste réseau.
Dans un second temps, l’activation fréquente ou non de ces connexions neuronales permet soit de les renforcer, soit de les réduire, avec pour conséquence de consolider le souvenir ou au contraire de l’oublier.
Après avoir publié la photo la plus likée de l’année 2018, Beyoncé a été détrônée et pour couronner le tout, elle ne figure même pas dans le classement 2019 ! Son cliché, annonçant sa grossesse, avait dépassé les 11 millions de likes. Pratiquement un an après jour pour jour, son record a été pulvérisé par la petite sœur de Kim Kardashian.